7 août 
             
            Levé plus tard ce matin, 08:00, baignade sur la plage du Hilton. 
            Apres le Petit Dej on retourne en ville pour finir les missions d'hier, 
            on envoi email en métropole et on vérifie la météo 
            (à part mer agitée, rien de bien alarmant). On arrive 
            enfin à faire du change 700 US$ = 904 000 Bolivars.. Nous sommes 
            riches ! On prend un taxi pour trouver un supermarché, le chauffeur 
            nous conduit au plus grand supermarché que j'aie jamais vu, 
            Carrefour n'a qu'à se tenir  tranquille. 
            Mais avant cela on cherche notre huile pour le moteur, la station 
            service locale ne donne rien, mais on trouve tout ce qu'il faut dans 
            une autre marina où y a un shipchandler sympathique et fort 
            compétant. Revenons à notre fameux supermarché, 
            plus de 20 mètres de haut, des têtes de gondoles qui 
            touchent pratiquement le plafond, des centaines d'employés 
            partout, dans les rayons, à la caisse, etc... On trouve tout 
            notre bonheur pour 40 000 Bolivars (non non, on n'a pas acheté 
            le magasin). 
             
            On retrouve le bateau et peu après Don Carlos revient avec 
            nos visas, tout est en règle. Il nous demande 200 US$ pour 
            ses services alors qu'hier c'était seulement 100 US$.. Après 
            quelques négociations on descend à 150 US$. On va dire 
            au revoir à tous nos amis de la marina, Fernando en premier, 
            et on met le cap vers l'autre marina pour pouvoir faire le plein d'essence, 
            c'est la marina de Porlamar où communément appelé 
            la marina du Concorde en référence à l'hôtel 
             à 
            proximité. Partout sur le front mer de cette île il y 
            a des grands bâtiments à moitiés construits et 
            des hôtels abandonnés. On jette l'ancre le temps de faire 
            le plein 135 litres de Gasoil avec une pompe à main. Au moment 
            de repartir le moteur tribord ne veut rien savoir et refuse de démarrer 
            = on déjeune, on verra après... mais toujours rien. 
            On est forcé de rester dans la baie... Ramzi, Marie et Guls 
            en profitent pour aller à terre, ils prennent un taxi et vont 
            visiter la ville locale (la capitale quoi), ils reviendront vers 18:00. 
            Nous nous devons trouver un mécanicien pour réparer 
            ce foutu moteur. On retourne au shipchandler de ce matin qui appelle 
            un pote mécano qui nous promet de passer le lendemain vers 
            08:00. On passe donc l'après midi sur le bateau à lire 
            et à se baigner. Y a bien 80 bateaux mouillés dans cette 
            baie. On dîne à bord et dodo. |